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yrsaprietzel

La problématique de la viande


L’humain n’est fondamentalement pas conçu pour consommer de la viande.

Voici quelques réflexions.



Nos différences physiologiques avec l’animal carnivore:

-ses sécrétions gastriques ont beaucoup plus d’acide chlorhydrique (200%)

-ses sucs pancréatiques beaucoup plus de protéases ( pour la digestion des protéines)

-son foie neutralise l’acide urique et l’ammoniac généré par le catabolisme de la viande

-ses reins éliminent 100% des toxines générés par la viande contre 2% chez l’homme

-son intestin est trois fois plus court (pas de putréfaction intestinale liée à la stagnation)

-ses mâchoires, dents et ongles sont faits à cet effet


Les Hygiénistes disaient : « à moteur différent, carburant différent»!

Les viandes induisent chez l’être humain:


-une putrescence intestinale avec perturbation de la flore et baisse du système immunitaire

- l’apport possible de larves et parasites dans les viandes crues

-l’hyper leucocytose de Kouchakoff par non reconnaissance de l’aliment et une réponse du système immunitaire affolé, affaiblissant le terrain

- l’apport excessif d’acide urique, d’urée, d’ammoniac, par les purines, et d’histamines( allergisant, déminéralisant, encrassant)

- l’apport d’ anabolisants, d’antibiotiques, de tranquillisants, d’hormones du stress (induit par la peur de l’animal de sa mort)

- l’apport de 3-4 benzopyrènes dans les viandes grillées et fumées

-l’apport du cholestérol LDL à travers les acides gras saturés augmente les problèmes cardio-vasculaires.


Le risque d’un cancer de l’intestin est multiplié par deux pour un consommateur de viande.

En fonction de la quantité de viande consommée il y a perte de l’équilibre calcique)

au-delà de 95g de viande par jour)


La consommation de viandes induit progressivementl’acidose toxiquequi mène à des pathologies des articulations, des reins, du système nerveux.(Cf. «les aliments acides et acidifiants»)


REMPLACER LA VIANDE PAR:

- Le poisson, les fruits de mer:

- plus digestes par leur manque de fibres conjonctives, ils entraînent bien moins de fermentations et laissent bien moins de résidus toxiques.

- riches en acides gras insaturés (dont les Omega 3), si important dans la protection des maladies cardiovasculaires, inflammatoires, nerveuses

- riches en vitamines, minéraux et oligo-éléments.


- Les œufs:

- sont des protéines complètes très bien assimilables. Ils doivent être peu cuits (coque++)Pour profiter pleinement des acides aminés essentiels(tous) qu’ils contiennent. Il est d’importance majeure qu’ils soient d’origine d’agriculture biologique pour éviter des allergies éventuelles à travers des poisons employés dans l’agriculture conventionnelle et des résidus de la médicamentation outrancière des volailles


- Les fromages de chèvre et de brebis:

- sont plus digestes par leur composition de protéines, lipides et glucides. Le calcium étant bien plus assimilable pour l’être humain. A consommer sans excès.


- Les algues:

- sont très riches en protéines et minéraux de très grande qualité.


- Les protéines végétales:

- sont des protéines complètes si l‘on respecte les associations et proportions conseillées : ¾ de céréales + ¼ de légumineuses

- exemples :

- riz + soja ou lentilles comme en Indes ou en Chine,

- semoule + pois chiche comme dans le couscous,

- maïs + haricot rouge comme en Amérique du Sud,

- quinoa + lentilles corails.

Cette association représente la protéine du pauvre, base de la plupart des cuisine du monde!


- Les graines germées:

- riches en protéines (alfalfa, blé, épeautre, kamut, lentilles, soja vert, tournesol, trèfle jaune et rouge), en minéraux, vitamines, enzymes.


- Les oléagineux, les champignons.


- Les plantes sauvages telles que : Ortie, Luzerne, Plantain, Bardane, Pissenlit contiennent, elles aussi, des protéines végétales.

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